de Richard Levinson et William Link (1968-1978)
Ticket Dans la famille série policière je demande le chevalier en imper froissé. Après le méticuleux et précieux détective privé Hercule Poirot (David Suchet) d’Agatha Christie et avant son savant collègue Sherlock (Benedict Cumberbatch) de Sir Arthur Conan Doyle, un simple lieutenant de police fait irruption –cigare en bouche– pour résoudre les énigmes de mystérieux crimes. Merci, Monsieur Link.
Popcorn Il ne me sera jamais permis de regarder l’acteur, Peter Falk, sans penser à ce personnage qu’il a incarné de 1968 à 1978 puis de 1989 à 2003 pour le petit écran. Ses partenaires de plateau n’apparaissent que pour une durée d’un à six épisodes (Robert Culp, Patrick MacGoohan), à l’exception de Mike Lally (16 ép., 1972-1976), John Finnegan (12 ép., 1972-2003) et Bruce Kriby (9 ép., 1973-1995).
Soda Musique composée par Dick DeBenedictis (23 ép., 1972-2000), Bernardo Segall (10 ép., 1974-1976) et quinze autres compositeurs. Gaffe au générique, estampillé période pre et post Love-boat, qui vous atomisera le moral avec son chalala-synthésplash-harpoviolon-tagada. Reste le thème non-officiel à peine moins affreux, fredonné par Columbo, This Old Man (1906).
Clap De la saison 1 à 7, les scenarii les plus appétissants.
Zigomascope Une dernière chose : sa femme lui dit toujours une tonne de trucs.
ZD
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