VELVET GOLDMINE

 de Todd Haynes (1998)

1998/1999 : Paris, grandes affiches de « Velvet Goldmine » dans les couloirs du métro. Fond jaune, un tourbillon de couleurs et au milieu un visage.

Ticket Je n’avais entendu aucune information concernant ce film mais l’affiche m’intriguait ainsi que le titre qui me rappelait un morceau de David Bowie.

C’est seulement une dizaine d’années plus tard que je tombe dessus en dvd, étant toujours intriguée, je l’achète. Et là, gros « bam » ! Un magnifique hymne au mouvement « Glitter » (rock’n’roll, paillettes & plateform shoes) apparut en Angleterre dans les années 70’s . L’esthétique du film est parfaite. C’est une oeuvre poétique, colorée, musicale et blindée de tiroirs (à chacun d’y voir ce qu’il veut – même Oscar Wilde, encore que lui soit clairement évoqué).

Soda Le titre du film est tiré d’une face B d’un 45 tours de David Bowie (1975)

Popcorn Un extrait d’une jolie performance et accessoirement d’une superbe chanson d’Iggy Pop (1973) – non non pas l’extrait où cet acteur est en tenue d’Adam…

Clap Le petit mot sur les acteurs : ils jouent juste :

1. Jonathan Rhys Meyers est loin de la série « The Tudors » ou du film « Match point »
2. Toni Collette n’a rien d’une « Muriel »
3. Christian Bale n’est pas « Batman » et est particulièrement attachant
4. Ewan McGregor, excellent
5. Les amateurs de Brian Molko apprécieront son apparition dans un rôle de… suspense… chanteur !

Zigomascope Une autre belle histoire du Rock n’roll (j’en ai plein mon escarcelle).

par Lady Kiou